Dix neuf ans que c'est un jour oui un jour non. 19 ans que le procès pénal de l'amiante est attendu.
Nouvelle "séance" le 26 mars devant la chambre criminelle de la Cour de cassation de Paris. Cette juridiction doit décider une novelle fois si les mises en examens des patrons de Condé-sur- noireau, des industriels et des responsables de l'Etat dont Martine Aubry sont confirmées.
Cette décision qui devrait être connue fin avril aura de lourdes conséquences pour la poursuite ou non vers l'ouverture d'un procès pénal de l'amiante.
Les victimes de l'amiante pensent que l'ouverture d'un procès dans la recherche des responsabilités permettrait certainement d'éviter d'autres drames sanitaires avec d'autres cancérigènes aussi sournois que présents dans nos industries